Igé (Saône-et-Loire)

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Igé
Igé (Saône-et-Loire)
Igé, au cœur du Mâconnais.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Mâcon
Intercommunalité Mâconnais Beaujolais Agglomération
Maire
Mandat
Gérard Buono
2020-2026
Code postal 71960
Code commune 71236
Démographie
Population
municipale
884 hab. (2021 en augmentation de 2,43 % par rapport à 2015)
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 23′ 52″ nord, 4° 44′ 28″ est
Altitude Min. 225 m
Max. 600 m
Superficie 14,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mâcon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Hurigny
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liens
Site web mairie-ige.fr

Igé est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le village est situé dans le Mâconnais, à la lisière du Haut-Mâconnais au nord, entre Verzé, Azé et Cluny. On peut y trouver des vestiges historiques comme la chapelle de Domange qui date du Xe siècle ou une série de lavoirs situés dans tout le village. Village viticole du vignoble du Mâconnais.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Cluny Azé Saint-Maurice-de-Satonnay Rose des vents
N
O    Igé    E
S
Verzé

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 926 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 873,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,6 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Igé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Macon dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (52,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,6 %), cultures permanentes (30,9 %), zones agricoles hétérogènes (12,7 %), prairies (6,5 %), zones urbanisées (5,3 %), mines, décharges et chantiers (3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

« Igyé est une chastellenie royale. Et néanmoins au village dudit Igyé est une maison noble, laquelle a acquis à ses possesseurs le titre de seigneurs d'Igyé. Ceste maison est l'une de celles que j'ay dit estre de la fource de Lugny du Masconnois […]. En ladicte chastellenie d'Igyé, comme aussi en celle de Prissey, sont plusieurs autres maisons nobles, desquelles ignorant les seigneurs, j'ay esté contrainct me taire. » écrit Pierre de Saint-Julien de Balleure en 1581 au sujet de la chastellenie d'Igyé.

Plaque commémorative de la révolte de juillet 1789 à Igé.

C'est à Igé que, le , débuta la jacquerie plus connue sous le nom de « Grande Peur du Mâconnais », au cours de laquelle s'illustrèrent ceux que l'on a dénommés les brigands. Igé eut pour seigneurs au XVIIIe siècle de puissants nobles appartenant à la maison de La Bletonnière, famille qui avait pour armes : « D'or, à une ancre de sable. ». Malheureusement, poussés à bout par l'un de ces seigneurs, François Charles Albert de La Bletonnière, qui, suivant l'exemple d'Abel de La Bletonnière, son père, leur refusait l'usage de l'unique fontaine convenable du village, les habitants d'Igé, menés par le brandevinier Claude Pain (pendu à Mâcon le 14 septembre 1789), l'ex-syndic Jean Blanchard et l'ancien garde Antoine Protat, et aidés par les villageois d'Azé, saccagèrent le château de leur seigneur. Sur le territoire de l'actuelle commune fut aussi attaqué le même jour, au hameau de Domange, un domaine appartenant aux moines bénédictins de Cluny[14],[15].

À compter du , Igé fut desservi par le train, à la suite de l'inauguration ce jour-là de la ligne de chemin de fer à voie étroite Mâcon-Fleurville via Lugny (ligne qui fonctionna, pour le trafic quotidien des voyageurs, jusqu'en 1931[16])[17].

Début 1927 : fondation de la coopérative vinicole d'Igé, avec Marius Vatron pour président.

23 décembre 1943 : dans la nuit, un groupe de jeunes maquisards du camp FTP de Brandon en mouvement vers le Jura est attaqué par des soldats allemands au hameau du Martoret, peu après avoir traversé le bourg. L'opération causera la mort de cinq maquisards, dont les noms sont gravés sur une stèle du souvenir.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
8 brumaire an X 9 janvier 1807 Dom Claude Chovisse   Ancien moine de l'abbaye de Cluny
9 janvier 1807   Louis-Abel de La Bletonnière   Ancien conseiller au Parlement de Paris
1953 1971 Paul Dailly
(1919-2016)[18]
FGDS Agriculteur, viticulteur, pépiniériste
avant 1981 ? François Noël DVG  
mars 2001 2004 Henri Guittat SE  
2004 mars 2014 Roland Schultz UMP  
mars 2014 juin 2020 Christiane Duvernay LR  
28 juin 2020 en cours Gérard Buono   Ancien 1er adjoint. Président du Comité de la Prévention routière de Saône-et-Loire, Colonel de réserve, retraité de la Gendarmerie. Chevalier de la Légion d'honneur et de l'Ordre national du Mérite. Installé lors du Conseil municipal du 3 juillet 2020.
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants d'Igé s'appellent les Igéens.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[20].

En 2021, la commune comptait 884 habitants[Note 4], en augmentation de 2,43 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0309241 1401 0761 1431 1921 2001 1421 211
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1261 1441 1971 1541 2421 2561 099928932
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 008995939801735689720710728
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
741703646669729768854866853
2017 2021 - - - - - - -
871884-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Vignoble[modifier | modifier le code]

Le terroir d’Igé est principalement exploité par une cave coopérative : la « Cave des Vignerons d’Igé », fondée en 1927, soit la même année que la création des coopératives vinicoles voisines de Lugny, Azé, Clessé et Varennes-lès-Mâcon (la première cave coopérative étant celle de Saint-Gengoux-de-Scissé fondée dès 1925). Elle réunit aujourd’hui 80 vignerons et produit des vins principalement dans les appellations Mâcon-Igé et Saint-Véran à base de chardonnay.

Igé, commune viticole, dispose de vignerons indépendants implantés sur la commune, parmi lesquels le Domaine Fichet installé au hameau du Martoret.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le château d'Igé, que l'on doit en grande partie à Geoffroy de Lugny et qui appartint aux Maugiron puis aux La Bletonnière.

Parmi les lieux et monuments remarquables figurent :

  • le château d'Igé, propriété des de Lugny du XIVe à la fin du XVIe siècle, puis des Maugiron puis des La Bletonnière (propriétaires en 1789) ;
  • la chapelle Sainte-Bénédicte de Domange (du Xe – XIe siècle, sur des fondations antérieures), restaurée de 2006 à 2008[23] ;
  • l'église Saint-Germain d'Igé construite dans le style néo-classique (première moitié du XIXe siècle) ayant remplacé une ancienne église romane (avec chapelle seigneuriale) placée elle aussi sous le vocable de saint Germain[24] ;
  • Le site mégalithique dit « de la pierre l'Écorcherie », consistant en une allée couverte n'ayant conservé que ses parois latérales formées de blocs et de murettes[25] ;
  • Sur les teppes : circuit de fun-cars (course d'automobiles apparentées au stock cars).

Sur le territoire de la commune (lieux-dits « Pré de Crouzette », « En Champ Beurne » et « En Mouge ») est implantée une carrière de pierre (dotée d'une installation de concassage criblage), carrière exploitée par la société TRMC de Saint-Martin-Belle-Roche, conformément à une autorisation délivrée le 1er octobre 1993 pour une durée de vingt ans, et renouvelée en 2014 avec une durée d’autorisation prévue de 30 années d’exploitation. La production sollicitée par l'exploitant est, chaque année, de 300 000 tonnes[26].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Dom Claude Chovisse, ancien moine de l'abbaye de Cluny (d'abord à Cluny même puis, en tant que procureur, à la maison des Clunistes de Saint-Martin-des-Champs, à Paris, où il vit éclater la Révolution) décédé le à Chissey-lès-Mâcon, après avoir été successivement nommé maire d'Igé (fonctions qu'il occupa du 8 brumaire an X au ) et curé de la paroisse de Chissey-lès-Mâcon (de 1810 à sa mort)[27].
  • Pierre-Salomon-Antoine Desbois, seigneur de Choiseau, de la Cailloterie et Chabotte, qui fut le dernier grand bailli d'épée de Mâcon et décéda en 1831 à Chabotte, fief dépendant avant la Révolution de la paroisse d'Igé[28].
  • Jean-Baptiste Commerçon, né à Igé le , horticulteur et botaniste renommé qui intégra la Société d'horticulture de Mâcon en 1895 puis fut fait membre honoraire de la Société d'histoire naturelle de Mâcon en 1905 (conseiller municipal de Mâcon de 1912 à 1925, il quitta la ville-préfecture en 1916 après avoir été nommé aux fonctions de directeur de l'Asile départemental à Semur-en-Brionnais)[29].
  • Éric Lavigne, militant associatif et politique, créateur des premiers Services d'Accompagnement à la Vie sociale pour personnes handicapées motrices en collaboration avec Christophe Sirugue, vice-président de l'Assemblée nationale. Il a largement œuvré pour l'accès à la culture des personnes en situation de handicap notamment en organisant en le plus important rassemblement de personnes handicapées à l'abbaye de Cluny, laquelle s'est vu décerner le label Tourisme et Handicap à cette occasion. Franc-maçon initié à Mâcon, il fait partie de la loge affiliée à la Grande Loge de France, « les 3 marches », à Mâcon. Diplômé en mathématiques, en philosophie, il s'est notamment intéressé au renouveau de l'école Nicolas-Bourbaki.
  • Ovide Carpi (1901-1975), résistant[30] arrêté par la Gestapo à Nancy (Meurthe-et-Moselle) en 1944 et déporté dans les camps de Flossenbürg, de Theresienstadt et de Neuengamme, a vécu à Igé et y repose, au cimetière communal, auprès de sa famille. Il fut par ailleurs chevalier de la Légion d’honneur (décret du 12 mai 1958), chevalier des Palmes académiques et chevalier de l’Ordre du Mérite de la République italienne. De plus, il dirigea la DAVUM[31] à Woippy (Moselle), une usine qui, pour le Mémorial Charles-de-Gaulle[32], construisit les armatures et assembla les éléments de l’immense croix de Lorraine de Colombey-les-Deux-Églises (Haute-Marne) dans le début des années 1970. Il créa, à Igé, le Domaine des Roches[33], dans le hameau du Martoret.
  • Pierre Bonnet[34] (1918-2006), résistant évadé d'un camp de concentration allemand dès 1940, devenu directeur régional du ministère des Anciens combattants à Montpellier (Hérault) après la guerre, est enterré auprès de sa famille, au cimetière de la commune. Il fut également officier de la Légion d’honneur (décret du 3 avril 1980), titulaire de la Médaille militaire (décret du 30 octobre 1963) et de la Croix de guerre 1939-1945 avec palme.

Culte[modifier | modifier le code]

Igé appartient à l'une des sept paroisses composant le doyenné de Mâcon (doyenné relevant du diocèse d'Autun) : la paroisse Saint-Vincent en Val-Lamartinien, paroisse qui a son siège à La Roche-Vineuse et qui regroupe quinze villages du Mâconnais.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Roland Bourquin, Igé, berceau de la Révolution en Mâconnais, livret de 72 pages édité par le Comité pour la célébration du bicentenaire de la Révolution à Igé, 1989.
  • Pierre Jaquet, Annales d'Igé, recueils de documents et de matériaux pour servir à l'histoire de cette commune, Protat, Mâcon, 1936 (3 volumes).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Igé et Jalogny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Mâcon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. Fernand Evrard, Les paysans du Mâconnais et les brigandages de juillet 1789, Annales de Bourgogne XIX, nº 73-74, pages 7 à 121 (1947).
  15. Georges Lefebvre, La Grande Peur de 1789 (1932). Rééd. Paris 1988.
  16. Source : « Les petits tacots sont morts... Que vivent les petits tacots !», article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 20 de décembre 1973 (pages 29 et 30).
  17. Cette ligne s’imposa progressivement comme un moyen de transport commode des voyageurs et des marchandises et son petit train, vite adopté sous le nom de « Tacot de Fleurville », connut un succès ininterrompu jusqu’à sa disparition dans les années 1930, effectuant plusieurs allers-retours quotidiens. Outre des voyageurs, le Tacot transportait du vin, du charbon, du bétail, du bois ou de la pierre de taille. Il se composait de deux ou trois voitures de voyageurs, d’un fourgon à bagages et d’un wagon de marchandises. Au sujet de cette ligne, lire : « Le Tacot de Fleurville », article de Pierre Laffont paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 92 (hiver 1992-1993), pp. 9-15.
  18. « Igé - nécrologie », sur Lejsl.com, Le Journal de Saône et Loire, (consulté le ).
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. « Renaissance de la chapelle romane de Domange à Igé », article de Roger Vincent paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 156 de décembre 2008 (pages 9 à 11).
  24. Eglise qui fut démolie peu après la construction de la nouvelle et dont un dessin conserve le souvenir. « De quelques églises disparues » par Michel Bouillot, revue Images de Saône-et-Loire n° 89 (printemps 1992), p. 9 à 19.
  25. Site fouillé en 1958 par le Groupement archéologique du Mâconnais (GAM). Source : Albert Barthèlemy, L'installation des premiers agriculteurs en pays mâconnais, revue « Images de Saône-et-Loire » n° 6 (octobre 1970), pp. 5-9.
  26. La surface concernée étant de 61,3 ha, dont environ 20 ha réellement soumis aux travaux d’extraction. Source : Le Journal de Saône-et-Loire du 5 août 2014.
  27. Source : « Translation des ossements de dom Chovisse, religieux bénédictin de Cluny et curé de Chissey, de 1810 à 1829 », article paru dans la revue La Semaine religieuse d'Autun, Chalon et Mâcon datée du 22 janvier 1887.
  28. « À propos de bailliages », article de Colette Tonneau paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 150 de juin 2007, pages 3 à 6.
  29. « De la Saône à la Loire au début de ce siècle : Jean-Baptiste Commerçon », article de Fernande Lambert-Commerçon, André Fenouillet et Marguerite Nicolas paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 72 de Noël 1987, page 10.
  30. « CARPI Ovide | Flossenbürg », sur Flossenbürg | Association des déportés et familles de disparus du camp de concentration de Flossenbürg & Kommandos, (consulté le )
  31. « Metz. Savez-vous où a été fabriqué le mémorial Charles-de-Gaulle ? », sur www.republicain-lorrain.fr (consulté le )
  32. « La Croix de Lorraine », sur Fondation Charles de Gaulle (consulté le )
  33. « Domaine des Roches | Guide Hachette des Vins », sur Le Guide Hachette des Vins (consulté le )
  34. « Acte de naissance à Romanèche-Thorins (71570) », sur www.acte-de-naissance.fr (consulté le )